Daniel Riolo est revenu hier sur les incidents lors de Bastia-Lyon, en pointant du doigt la part de responsabilité d’Anthony Lopes et de Jean-Michel Aulas notamment, qualifiés de provocateurs.
« Je le précise, ce n’est pas du tout une excuse, car il y a une différence énorme entre les mots et les actes et la violence. Mais l’attitude d’Anthony Lopes, régulièrement provocateur, au même titre que certains joueurs lyonnais. De Jean-Michel Aulas, qui fait que ce club s’est un peu coupé du reste de la France car c’est un des clubs les plus détestés aujourd’hui par tout ce qu’il émet comme ondes négatives et déclarations fracassantes et stupides, comme celle d’Aulas après le match contre Besiktas : « on va aller à Bastia, ça sera peut-être plus chaud qu’en Turquie ». Ce genre de connerie qu’on peut éviter. La LFP va devoir se pencher là-dessus. […] A un moment, que tout le monde se regarde dans une glace. »